đŸ» Commission Locale D Information Et De Surveillance

LeC.D.I.A., membre de la Commission Locale d'Information et de Surveillance (C.L.I.S) qui rĂ©glemente le fonctionnement de l'usine, milite pour des contrĂŽles plus nombreux, plus rigoureux et plus "transparents" des rejets de l'incinĂ©rateur. l'incinĂ©rateur dans la vallĂ©e du Paillon : Depuis 2006, nous avons obtenu un plan annuel de suivi des taux de dioxines (dans les olives, les UneCommission locale d'information (CLI) ou Commission locale d'information et de surveillance (CLIS) est une structure d'information et de concertation obligatoirement [1] mise en place par certaines installation classĂ©e pour la protection de l'environnement (ICPE) (en France). Elle a une mission gĂ©nĂ©rale d'information du public en matiĂšre de sĂ»retĂ© et de suivi CommissionLocale d’Informationet de Surveillance du 24/11/2011 Impact Environnemental ‱ ThĂšme AIR – Rejets AciĂ©rie 2011 : Saturation et micro brĂ»lure des manches filtrantes LerĂŽle d’une Commission Locale d’Information et de Surveillance, conformĂ©ment aux arrĂȘtĂ©s de prescription, Ă  la circulaire ministĂ©rielle de 2009, au rapport du Groupe d’Expertise Pluraliste de septembre 2010, et au rapport du Conseil Economique Social et Environnemental RĂ©gional, ne se rĂ©duit pas Ă  l’information. La CLIS doit aussi susciter la participation des acteurs du Voustrouverez, ci-joint au format PDF, le document prĂ©sentĂ© par le SIBA lors de la CLIS sur la qualitĂ© des eaux du Bassin s’est tenue le 15 octobre 2010 au LycĂ©e de la Mer Ă  Gujan-Mestras. Commission Locale d’Information et de Surveillance (CLIS) sur la QualitĂ© des Eaux du Bassin d’Arcachon | Siba - Syndicat Intercommunal du Bassin d'Arcachon LedĂ©cret n° 93-1410 du 23 dĂ©cembre 1993 a fixĂ© les modalitĂ©s d'exercice de ce droit Ă  l'information : les commissions locales d'information et de surveillance (CLIS) sont un des moyens d'exercice de ce droit. La nĂ©cessitĂ© de renforcer l'information et la participation des citoyens a Ă©tĂ© rappelĂ©e dans la communication du Gouvernement du 26 aoĂ»t 1998 sur la Dansles entreprises d’au moins 50 salariĂ©s, le CSE dispose, de surcroĂźt, de moyens spĂ©cifiques : subvention de fonctionnement, possibilitĂ© de recours Ă  des experts, droit d’alerte Ă©tendu, constitution de commissions spĂ©cialisĂ©es, etc. Le CSE est obligatoirement consultĂ© par l’employeur dans de nombreux domaines et circonstances. LaCommission internationale de surveillance et de contrĂŽle au Cambodge surveillait l’application des Accords de GenĂšve et aidait les forces de rĂ©sistance khmĂšres Ă  se disperser pour que leurs membres puissent rentrer chez eux, tout en aidant le ViĂȘt-minh Ă  quitter le pays. Une grande partie de ces activitĂ©s se sont dĂ©roulĂ©es en desCommissions Locales d'Information et de Surveillance (CHS) Guide CUS: Sommaire Preface..P.3 Le cadre legislate et reglementalre..P.4 Loi cadre du 15 juiilet 1975 modifiee par la loi du 13 juillet 1992 Loi du 19 juillet 1976 sur les installations dassees Le droit h 1'infbrmation du public : decret du 29 decembre 1993 Declaration et autorisation..P.12 Le principe general sQB9Sa. Commission Locale d’Information et de Surveillance Du Vallon du rendu de la rĂ©union du 21 mai 2010______________Monsieur GONTERO, Vice-prĂ©sident de la souhaite la bienvenue Ă  tous les membres de la commission et excuse le PrĂ©sident. AprĂšs avoir prĂ©sentĂ© la politique gĂ©nĂ©rale de la communautĂ© d’agglomĂ©ration dans le domaine de la collecte et du traitement des dĂ©chets, il rappelle le dĂ©roulĂ© de la commission prĂ©cĂ©dente et fait approuver le compte rendu correspondant. ORDRE DU JOUR DE LA COMMISSION Un diaporama est prĂ©sentĂ©, reprenant les points essentiels du bilan d’activitĂ© et du bilan environnemental. Rappel de la CompĂ©tence de la Localisation des Ă©quipements. Situation administrative, RĂ©alisation 2009, Bilans chiffrĂ©s alvĂ©oles, plate forme de compostage, dĂ©chetterie, Bilan chiffrĂ© de valorisation, Equipements de contrĂŽle, SynthĂšse des anomalies, Questions diverses. Une information est donnĂ©e par Monsieur MEVEL indiquant que les documents bilan environnement et bilan d’activitĂ© de l’annĂ©e 2009 ont Ă©tĂ© envoyĂ©s aux membres de la uniquement. A l’avenir, les documents seront Ă©galement communiquĂ©s Ă  l’ensemble des participants de la POINTS ABORDES AU COURS DE LA COMMISSION FONCTIONEMENT GENERAL DU SITE Monsieur LECLERQ le rĂŽle de la et celui ce l’inspecteur des installations ClassĂ©es pour le contrĂŽle des Ă©quipements. Il prĂ©cise Ă  tous les membres de la qu’ils peuvent demander Ă  tout moment des informations ou des prĂ©cisions en prenant contact avec l’exploitant et l’inspecteur des installations classĂ©es. Monsieur LECLERQ informe que le site du Vallon du Fou composĂ© d’un site de classe 2, d’une plate forme de compostage et d’une dĂ©chetterie, est un site rĂ©cent et moderne. Il est l’un des derniers mis en Ɠuvre sur la rĂ©gion. L’INSTALLATION DES STOCKAGES DES DECHETS Bilan quantitatif Monsieur PAILLE indique que le dimensionnement de la capacitĂ© des alvĂ©oles na pas Ă©tĂ© surĂ©valuĂ© puisque l’arrĂȘtĂ© autorise 80 000 tonnes et qu’en 2009, 70 094 tonnes ont Ă©tĂ© traitĂ©es. Bilan environnemental Analyse des eaux Monsieur MEVEL informe que toutes les analyses sont dans le bilan environnemental et que ces derniĂšres sont conformes aussi bien pour les eaux souterraines que pour les lixiviats. Le confinement des eaux polluĂ©es est dons effectif. Concernant le dĂ©passement constatĂ© sur une analyse des lixiviats fer et manganĂšse,Monsieur MEVEL ajoute que celui-ci a fait l’objet d’une investigation par les services de la Cette anomalie, provenant d’un dĂ©faut de matĂ©riel, a Ă©tĂ© rĂ©solue dans les meilleurs dĂ©lais. Monsieur MEVEL prĂ©sente le dernier arrĂȘtĂ© N° 353-2009 PC du 08 mars 2010 qui impose des prescriptions complĂ©mentaires sur les rejets de substances dangereuses dans le milieu aquatique recherche des micropolluants. Les analyses au Vallon du Fou sont prĂ©vues pour l’étĂ© 2010 et les rĂ©sultats seront intĂ©grĂ©s dans le prochain bilan environnemental. Les Envols Monsieur LECLERQ indique que le site est correctement tenu surtout au niveau des envols. Les Odeurs Monsieur LECLERQ indique qu’aucune remarque n’est Ă  signaler sur des problĂšmes d’odeurs. Monsieur DEBOOM, riverain, confirme qu’aucune odeur n’est Ă  signaler. L’intĂ©gration paysagĂšre Madame MAZODIER, riveraine, indique que l’intĂ©gration paysagĂšre est trĂšs rĂ©ussie. Les engins d’exploitation Monsieur PAILLE informe que des contrats de location permettent de pallier aux pannes de matĂ©riels chargeur, compacteur, broyeur Les terres de recouvrement Les terres utilisĂ©es, sur le site du Vallon du Fou, sont des terres de dĂ©blais de chantier ou sont achetĂ©es auprĂšs des entreprises spĂ©cialisĂ©es. Aucun problĂšme d’approvisionnement n’est Ă  signaler. Monsieur LECLERQ conclut par un fonctionnement du satisfaisant. Pour mĂ©moire Monsieur COMBARETR indique que les matĂ©riaux de recouvrement, imposĂ©s par l’arrĂȘtĂ© d’exploitation du de Valentoulin, pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ©s par les douanes comme des dĂ©chets et seraient soumis Ă  la Taxe GĂ©nĂ©rale sur les activitĂ©s Polluantes Un dossier est actuellement en cassation. Les consĂ©quences financiĂšres qui en rĂ©sulteraient, pourrait ĂȘtre trĂšs importantes dans le cas ou l’interprĂ©tation des douanes serait retenue. LA PLATEFORME DE COMPOSTAGE Bilan qualitatif Monsieur LECLERQ indique qu’au niveau des dĂ©chets verts et du compostage, les tonnages indiquĂ©s sont intĂ©ressants et confirment l’utilitĂ© de cette installation. Messieurs PAILLE et MEVEL rappellent que ce compost est normĂ© NFU 44-451 et soumis Ă  prĂ©conisations suivant les rĂ©sultats d’analyses. Ainsi, un des andains na pu ĂȘtre utilisĂ© en potager ?les consignes d’utilisation sont affichĂ©es sur les lieux de mise Ă  disposition au public. FiliĂšre de valorisation La mise Ă  disposition du compost aux habitants est assurĂ©e et aucune pĂ©nurie n’est Ă  signaler. Monsieur LECLERQ demande Ă  l’exploitant si une valorisation dĂ©chets verts et boues dĂ©puration est envisagĂ©e Ă  l’avenir. Monsieur PAILLE indique que cette filiĂšre n’est pas prĂ©vue. LA DECHETTERIE Monsieur LECLERQ rappelle que les produits dangereux peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă  la dĂ©chetterie et ainsi ĂȘtre dirigĂ©s vers les filiĂšres de traitement adaptĂ©es. QUESTION DIVERSES SUR LES COLLECTES Collecte sĂ©lective Monsieur PAILLE indique que les conteneurs de tri collectĂ©s avec les ordures mĂ©nagĂšres sont des conteneurs de refus ; il s’agit de conteneurs mal triĂ©s et de ce fait non collectĂ©s avec le recyclable afin de ne pas polluer tout le chargement. Les rĂ©sultats de la collecte sĂ©lective sont insuffisants et sont dĂ©pendants du comportement de la population. DĂ©chets mĂ©dicaux d’automĂ©dications Monsieur PAILLE informe qu’une filiĂšre spĂ©cifique devrait ĂȘtre mise en place via le rĂ©seau des pharmacies pour les dĂ©chets d’automĂ©dications dĂ©chets d’activitĂ©s de soin Ă  risque infectieux DOCUMENTS COMPLEMENTAIRES NONVEAU PROCEDE DE TRAITEMENT Monsieur LECLERQ indique que la mĂ©thanisation est un procĂ©dĂ© en devenir mais Ă  ce jour la mise en Ɠuvre appelle Ă  la prudence au vue des expĂ©riences de Montpellier et de Marseille. La M rejoint la position de la sur les retours mitigĂ©s des traitements par mĂ©thanisation ou bio compostage. VISITE Une visite du centre de traitement a Ă©tĂ© faite AMELIORATION ADMINISTRATIVE Afin d’amĂ©liorer la comprĂ©hension des documents, un plan de localisation des piĂ©zomĂštres sera annexĂ© au bilan environnemental 2010 ainsi qu’un tableau des analyses des lixiviats indiquant les valeurs fixĂ©es par l’arrĂȘtĂ© d’exploitation. Le diaporama, prĂ©sentĂ© lors de cette commission, sera mis en ligne sur le site internet de la INAUGURATION Monsieur GONTERO rappelle que l’inauguration du centre de traitement du Vallon du Fou aura lieu le jeudi 10 juin Ă  18 h 00**********************************************************************************NOTA-DĂ©finitions DĂ©chets de dĂ©grillages dĂ©chets d’usine de traitements des eaux potables. DĂ©chets municipaux dĂ©chets des habitants de la non collectĂ© en teneurs. Refus d’entrĂ©es vĂ©hicules non admis au dĂ©chargement. La CME est consultĂ©e et informĂ©e, notamment sur les orientations stratĂ©giques de l’établissement, son plan de financement, la politique de recrutement des emplois contribue Ă  l’élaboration de la politique d’amĂ©lioration continue de la qualitĂ© et de la sĂ©curitĂ© des soins ainsi que des conditions d’accueil et de prise en charge des est chargĂ©e d’élaborer le projet consultative, le comitĂ© technique d’établissement associe les personnels hospitaliers Ă  la gestion de l’ est composĂ© de reprĂ©sentants Ă©lus du personnel non mĂ©dical relevant du statut de la fonction publique est amenĂ© Ă  Ă©mettre des avis et des vƓux sur toutes les questions ayant trait Ă  l’organisation et au fonctionnement de l’ CHSCT a pour mission de contribuer Ă  la protection de la santĂ© et de la sĂ©curitĂ© des travailleurs ainsi qu’à l’amĂ©lioration des conditions de commission des soins infirmiers, de rééducation et mĂ©dico-Techniques est consultĂ©e sur l’organisation gĂ©nĂ©rale des soins, la recherche dans le domaine des soins infirmiers, l’évaluation de ces soins et l’élaboration d’une politique de comitĂ© de gestion des signalements se rĂ©unit rĂ©guliĂšrement pour faire l’analyse des Ă©vĂšnements indĂ©sirables et faire le lien avec les professionnels pour mettre en place les actions CREX existent sur des thĂ©matiques c’est quoi ?C’ est l’étude thĂ©orique des principes qui guide l’action humaine dans les contextes ou le choix est possible, vise Ă  rĂ©pondre Ă  la question Que faire pour bien faire ? »RĂ©flexion qui vise Ă  dĂ©terminer les rĂšgles du bien agir en tenant compte des contraintes relatives Ă  des situations Ă©tablit les critĂšres pour agir librement dans une situation pratique et faire le choix d’un comportement dans le respect de soi mĂȘme et d’ CHAL, le ComitĂ© Local d’Ethique, c’est – Une instance Ă  votre service– Une rĂ©ponse aux demandes des professionnels destinĂ©e Ă  faciliter leur prise de dĂ©cision– Une sensibilisation aux questions Ă©thiques au sein de l’ par le Dr AndrĂ© Dartiguepeyrou mĂ©decin gĂ©riatre, le ComitĂ© Local d’Ethique a pour missions – Favoriser la connaissance, la diffusion et la mise en oeuvre de la charte de la personne hospitalisĂ©e– AmĂ©liorer la communication et la prise de dĂ©cision au sein des Ă©quipes de professionnels– RĂ©pondre aux demandes des professionnels en leur apportant un Ă©clairage multidisciplinaire destinĂ© Ă  faciliter leur prise de dĂ©cision– DĂ©battre des situations pour guider les cliniciens dans leurs dĂ©cisions– Emettre des recommandations dans les domaines oĂč des conflits d’ordre Ă©thique sont prĂ©sents– Augmenter la sensibilitĂ© aux questions Ă©thiques dans l’ situation, une singularitĂ© Les questions indispensables que se pose l’équipe soignante – La dĂ©cision envisagĂ©e est-elle lĂ©gale ?– Est-elle respectueuse du patient ? des autres acteurs de la situation ?– Est-elle conforme aux intĂ©rĂȘts gĂ©nĂ©raux et Ă  la mission de l’établissement ?– Peut-elle ĂȘtre aisĂ©ment communiquĂ©e et gĂ©nĂ©ralisĂ©e ?– Serait-elle acceptable si la personne concernĂ©e Ă©tait un proche ?La dĂ©cision retenue sera Ă©valuĂ©e tout au long de votre rĂ©flexion en tant que patient, un intĂ©rĂȘt constant– Respect de ma volontĂ© de patient quant au traitement proposé– Respect de ma capacitĂ© de discernement– Prise en compte et respect de ma dĂ©cision– Puis je Ă  tout moment changer de dĂ©cision ?– Le contrat de confiance sera-t-il respectĂ© ?– Les Directives AnticipĂ©es, une expression de votre volontĂ© *****************************************************LES DIRECTIVES ANTICIPEES – Une dĂ©marche Ă©thique de respect et de protection du patient.– Une dĂ©marche de concertation et de dialogue entre les soignants et le que c’est ?– C’est un document officiel qui permet d’exprimer, si vous en ressentez le besoin, votre volontĂ©, quant Ă  votre fin de vie.– Vous pouvez y Ă©crire ce que vous souhaitez ou pas en terme d’examens ou de sujets aborder ?– Votre attente face Ă  la douleur et Ă  ses traitements– Le souhait ou le refus de certains traitements et/ou interventions chirurgicales et/ou examens invasifs– L’alimentation et l’hydratation artificielles– Les mesures de rĂ©animation– Les personnes auxquelles communiquer des informations mĂ©dicales– L’accompagnement spirituel souhaité– La dĂ©signation de votre personne de confianceMais, il n’est pas possible de – Formuler une demande illĂ©gale demande d’euthanasie– PrĂ©tendre Ă  des traitements non reconnus– Mentionner des positions testamentairesA quoi servent les directives anticipĂ©es ?– Dans l’hypothĂšse oĂč vous ne seriez plus en mesure d’exprimer votre volontĂ©, elles permettent Ă  l’équipe soignante et notamment au mĂ©decin de connaĂźtre vos souhaits quant Ă  la limite ou l’arrĂȘt des traitements qui vous sont dispensĂ©s.– Le mĂ©decin reste libre d’apprĂ©cier les conditions dans lesquelles il convient d’appliquer vos directives compte tenu de votre Ă©tat clinique et de l’éventuelle Ă©volution des connaissances de validitĂ© des directives anticipĂ©es– Elle est de 3 ans Ă  compter de leur date de rĂ©daction, au terme desquels il est nĂ©cessaire de les renouveler.– Les directives anticipĂ©es sont rĂ©vocables Ă  tout moment par le patient sans formalitĂ© ou annulation des directives anticipĂ©es– A tout moment, il est possible de revenir sur ses dĂ©cisions soit en les modifiant, soit en les adaptant.– Elles resteront valables Ă  nouveau pour une durĂ©e de trois ans Ă  compter de la date de qui les donner ?Les directives anticipĂ©es doivent ĂȘtre aisĂ©ment accessibles Ă  tout mĂ©decin qui doit les consulter notamment dans le cadre de la prise de dĂ©cision d’une limitation ou d’un arrĂȘt de possible, au choix de la personne concernĂ©e – dans le dossier d’un mĂ©decin de ville qu’elle dĂ©signe mĂ©decin traitant ou non– en cas d’hospitalisation, dans le dossier mĂ©dical de l’établissement– ou conservation par leur auteur, la personne de confiance, ou Ă  dĂ©faut, par un membre de la famille ou un comitĂ© de lutte contre les infections nosocomiales organise la surveillance et la prĂ©vention des infections nosocomiales au sein de l’établissement. Il s’inscrit dans une organisation instance s’attache Ă  lutter contre des infections contractĂ©es par les patients durant leur hospitalisation et le dĂ©veloppement des germes responsabilitĂ©s du CLUD sont de proposer, pour amĂ©liorer la prise en charge de la douleur, les orientations les mieux adaptĂ©es Ă  la situation locale ; elles doivent figurer dans le projet d’établissement ;de coordonner au niveau de l’ensemble des services toute action visant Ă  mieux organiser la prise en charge de la douleur ;d’aider au dĂ©veloppement de la formation continue des personnels mĂ©dicaux et paramĂ©dicaux de l’établissement ;de susciter le dĂ©veloppement de plans d’amĂ©lioration de la qualitĂ© pour l’évaluation et le traitement de la pratique, les CLUD coordonnent les actions, recueillent les informations cliniques et les besoins de l’établissement, afin de proposer une stratĂ©gie cohĂ©rente et adaptĂ©e devant aboutir Ă  la prise en compte effective de toutes les douleurs. 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